Chapitre 4 : Compréhension des brevets de Gray.

== Figure 26 Circuit de gray  ==

Dans le chapitre précédent j'ai pris soin de bien expliquer les complexités du Tesla Magnifying Transmiter parcequ'il est en relation directe  avec le principe sur l'électricité froide du circuit de Edwin Gray. Pour mieux comprendre ce qu'est ce circuit et comment il opère la figure 26 montre "le schéma" de Gray sur la gauche ,tel que présenté dans le brevet #4,595,975 et sur la droite est ce qui fait référence au "circuit schématique , simplifié de Gray". (J'utilise le terme schématique en citation parceque ceci n'est pas un diagramme schématisé).Afin de mieux comprendre ce circuit dans sa forme la plus fondementale , j'aimerais éliminer quelques composants secondaire qui ne servent pas au fonctionnement comme suit :

1)Les composants #64 et #66 (visible dans l'encadré noir) servant à alimenter le circuit depuis une source AC d'alimentation.

2)Les composants #42 ,#44 et #46 ,composant de sécurité servant à protéger le circuit en cas de surtension , peuvent être éliminés (cf chapitre 1).

3)Le composant #26 , appelé commutateur par Gray , est une partie du mécanisme de temporisation.Cependant la triode  #28 est suffisante pour nous fournir le bon temps d'impulsion de décharge de notre condensateur , donc #26 peut être éliminé.

4) Le composant #48 est un commutateur qui permet à l'utilisateur de décider quelle batterie est l'alimentation et quelle autre batterie est celle de la recharge.On peut à la place désigner que la batterie 18 est l'alimentation et que la batterie 40 ,la batterie recevant les impulsions rechargeantes .

Quand tous ces composants sont retirés , nous aboutissons au véritable et fondamentale circuit de Gray (simplifié) , comme nous le voyons sur le diagramme sur le coté droit de la figure 26. La figure 27 montre le circuit Tesla Magnifying Transmiter à coté du circuit de Gray d'électricité froide. On y retrouve dans les deux circuits les caractéristiques communes suivantes :

1) Les deux circuits se mettent en route à l'aide d'une haute tension en courant continue .Dans le montage de Tesla l'alimentation est un générateur de haute tension à courant continue , source "B".Dans le montage de Gray l'alimentation est une batterie #18 sur laquelle est branché un multivibrateur #20 . Les impulsions proviennent du multi-vibrateur branché sur la basse tension pour être dirigé sur les enroulements du transformateur élévateur #22. La haute tension issue du secondaire du transformateur passe à travers un pont redresseur de diodes #24. La sortie du composant #24 est une haute tension à courant continue .Mais dans tous les cas , la haute tension et le courant continu sont commun aux deux circuits.

2)Les deux circuits mettent en scène le condensateur .Dans le circuit Tesla c'est C ; dans le circuit Gray c'est #16 .Les deux circuits opèrent en ayant le condensateur rechargé de façon répétée.

3)Les deux circuits ont en commun l'éclateur.Dans le circuit de Tesla il est représenté par "D-D".Dans le diagramme de Gray c'est le composant #62 .Pour que chacun des circuits fonctionne proprement l'étincelle dans l'espace de l'éclateur doit être caractérisé de deux façons :d'abord il doit y avoir un moyen pour assurer que la décharge aura lieu dans uniquement une seule direction .Puis il doit y avoir un moyen pour controler la durée de l'étincelle.Dans le cas du circuit de Tesla nous avons la pression continue du générateur à haute tension pour assurer la décharge unidirectionnel du condensateur , et un champ magnétique en travers de l'espace à étincelle pour briser le courant aussitôt qu'il apparaît.La durée de l'étincelle peut être déterminé par la solidité du champ magnétique et par les dimensions du condensateur.Dans le cas du circuit de Gray ,nous savons qu'il employait de très gros condensateurs , donc qu'il n'était pas en train de décharger tout le condensateur en une seule fois.Mais son circuit était en train d'exécuter deux fonctions : La résistance #30 limitait le courant dans la décharge , et la diode (tube à vide) #28 ne pourrait pas seulement bloquer la décharge peu importe la durée de l'impulsion ,mais ceci assurait aussi qu'aucun courant inverse n'apparaisse içi.Donc encore toutes les caractéristiques étaient là.Maintenant les deux circuits ont ce que j'appelle "L'emplacement préféré pour le phénomène electro-radiant".Dans le cas de Tesla c'est "deux tours de gros fils épais" , ("A") tel qu'il le décrit , qui est le primaire de son transformateur .Mais tel que nous l'avons appris M. Vassilatos ,ce n'est pas un transformateur du type magnétique. Le couplage magnétique est plutôt faible entre le primaire et le secondaire .En fait cet appareil fonctionne sur ce que Tesla fait référence selon ses nouvelles "règles d’électrostatiques d'inductions" .Dans le cas de Gray l'emplacement préféré pour le phénomène electroradiant est ce qu'il appelle son "conversion switching element tube" (CSET, élement #14), ce composant est clairement un composant électrostatique comme nous l'avons vu plus haut. Il est spécialement conçu pour avoir un phénomène explosif-électrostatique irradiant autour de son centre.

4)L'élément commun suivant est "le moyen préféré pour intercepter le phénomène electroradiant".Dans le cas de Tesla, c'est le secondaire de son transformateur "F" ; ceci est la bobine formé en cône ou en spirale que Vassilatos mentionne et qui a déjà été vu dans le brevet.Dans le cas de Gray c'est la grille de réception de charge #34 qui collectionne la tension radiante. Il est important de voir que dans les deux circuits il n'y a pas de connexion entre la source d'énergie et l'élément récepteur. Seulement la charge electroradiante induite sur ces composants de sortie.L'élément suivant est la connexion à "la sortie préférée".Dans le cas de Tesla la sortie est la connexion à la Terre (E) et la capacité virtuelle élevée E qui constitue son système de diffusion mondial.Dans le cas de Gray la décharge de la sortie de la "grille de réception de charge" a été dirigé vers la charge inductive #36 .Cette élément peut représenter n'importe quel élément ou la sortie d'un transformateur qui fait fonctionner son propre circuit à l'électricité froide ou des aimants permanent dans son moteur. Donc chacun des circuits a un moyen préféré pour intercepter le phénomène électroradiant et une méthode préféré pour y connecter la sortie.

5)Et finalement , Gray a été capable de reconvertir un peu de cet excès d'énergie en retour en électricité ordinaire et en y recyclant assez pour y recharger sa batterie , tel que déjà vu plus haut .Tesla n'était pas concerné par ce procédé de recyclage ,depuis que son système a été conçu pour être alimenté par une usine hydro-électrique.Donc il est clair qu'avec cette analyse les circuit Gray et Tesla sont les même. Ils font la même chose au même endroit de façon légèrement différente et ils prétendent tous deux de produire un gain extrêmement haut de forme froide d'énergie "électrostatique" en sortie. Le système de Tesla a été évidement beaucoup plus large à sa création car prévu à l'échelle terrestre.Le circuit de Gray a seulement été conçu pour alimenter voiture et maison.Mais pour tous les intérêts et but ces systèmes exécutent les même fonctions et relâchent le même gain d'énergie électroradiant.Une fois encore figure 28 montre le schéma circuit de gray du brevet "Efficient power supply suitable for inductive load".J'ai réalisé après avoir étudié le diagramme depuis un moment , qu'il y a un certain nombre de problème basique.

Caractéristique commune aux deux circuit Tesla Magnifying Transmiter & Circuit De Gray.

      == Figure 27 ==

== Figure 28 ==
"Schéma" du Circuit De Gray

Le premier problème est le composant #42 . Il y a une ligne de dessinée connectant ce qui se trouve sous la moitié inférieur de cet élément.Ci ceci est supposé être une connexion électrique , ça produira un court circuit et ne permettra pas au condensateur #16 de ce charger.Ensuite nous regardons les composants #26 et #28 qui sont définis comme suit : LE CONTROL DU "TUBE DE CONVERSION" EST MAINTENU PAR LE COMMUTATEUR #26.UNE SÉRIE DE CONTACTS MONTÉS RADIALEMENT SUR UN AXE OU SIMPLEMENT UN COMMUTATEUR STATIQUE SENSIBLE AU TEMPS OU UN AUTRE PARAMÈTRE PEUT ETRE UTILISE. UNE "DIODE" (TUBE DIODE) EST INSÉRÉE ENTRE CE COMMUTATEUR ET LE TUBE DE CONVERSION POUR EMPÊCHER LES ÉTINCELLES DE LA HAUTE TENSION DE TRAVERSER TOUTES LES BRANCHES DU COMMUTATEUR POUR CE FRAYER UN CHEMIN À TRAVERS LA MASSE.Si le commutateur #26 était statique il n'y aurait pas à empêcher des arcs électrique .Pourtant le but du composant #28 du texte du brevet est une tromperie. Toutefois le composant #28 est décrit tel un composant à énergie à un seul sens de circulation du courant. Gray spécifie que l'énergie dans cette section du circuit est permissible dans un seul sens .Ceci est la condition impotente à établir parce que c'est en strict respect avec les conditions que Tesla a placé à la suite pour créer le phénomène électroradiant.Il y a également une autre omission à la connexion d'un composant #28. La grille de contrôle dans la triode n'est connectée à rien et c'est évidement ce qui pourrait contrôler les décharges d'étincelles.Le texte du brevet ne mentionne pas comment fonctionne le composant #28 et sa grille.Le problème suivant était dans la charge inductive composant #36 .Premièrement ce composant est décrit comme un inducteur mais n'est pas symbolisé comme tel , comme on peut le voir avec les composants #22 et #66 .Deuxièmement il y a deux étranges flèches associées à ce composant.Le texte du brevet sous entend que ceci peut être deux bobines qui se repoussent ensemble pour produire un travail mécanique.Avec ceci en tête ,on peut penser que les flèches représentent  l'idée de mouvement.Ceci restant flou dans le texte du brevet. Troisièmement nous ne voyons pas le ou les chemins empruntés par le courant à travers les composants donc nous ne savons pas vers ou la décharge ira.Et finalement , quatrièmement le circuit va vers le condensateur #38. Dans le texte du brevet ce composant est décrit tel une partie du mécanisme de recharge. Cependant rien dans les connexions de ce composant n'a de sens. Par exemple, si les impulsions sont en train de provenir de l'inducteur #36 chargeant le condensateur #38 il n'y a pas de circuit connecté pour permettre au condensateur de se décharger .Par conséquent à cause de ces omissions cette section du circuit sera plus une partie de diagramme qu'un schéma réel. La grille de réception de charge est en connexion avec la charge inductive qui est en connexion avec le condensateur de réception qui est en connexion avec la batterie de rechargement. Cependant cette section est un bloc de diagramme indiquant seulement que ces composants sont en relations entre eux.

Dans le but d'une meilleur compréhension du diagramme de Gray, nous allons étudier le tube ("conversion element switching tube") en figure 29.C'est "la pièce mystérieuse tant vantée par Gray pour la génération et le mixage de l'électricité statique". C'est le composant ou est généré et collecté l'énergie libre.Il est composé de trois parties.Il a la résistance #30 , l'espace de l'éclateur interelectrode #32 et #12 et l'espace autour englobé par la grille de réception de charge #34a et #34b. Bien que ce ne soit pas établi dans le texte du brevet nous devons savoir que l'éclateur est réglé pour 3000 volts , connaissant l'article cité dans le chapitre 1. Le composant #12 est l'élément à partir du quel le phénomène électroradiant explosera de façon perpendiculaire à la circulation du courant dans l'élément #12. Le composant #12 est représenté comme étant relativement épais . Ce n'est qu'un simple fil .Le brevet ne le décrit pas .Il est supposé être une barre de métal non émaillée . Egalement ,ses extrémités peuvent être en matériaux inoxydables ou non magnétiques .Une large gamme d'option doit être envisagée et testée ,mais de toute évidence le diamètre de la tige doit être  d'un bon calibre , tout comme elle peut être creuse ou non .La grille de réception concentrique (34a et34b )peut contenir une ou plusieurs grilles , elle utilise une basse tension d'anodes et une haute tension d'anodes .Gray fait référence à ce composant en disant :

1) LA FORME ET L'ESPACEMENT DES GRILLES ÉLECTROSTATIQUES SONT LIÉS À L'ÉNERGIE, L'INTENSITÉ, LA TENSION ET L'APPLICATION SOUHAITÉES .C'EST LE SOUCIS DE L'INVENTEUR DE TROUVER LES BONNES GRANDEURS POUR LES ÉLÉMENTS DU TUBE AFIN DE S'ADAPTER CORRECTEMENT AVEC LE RESTE DU CIRCUIT.C'EST LA RESTRICTION CONCERNANT LA FABRICATION DU TUBE ET DU CIRCUIT QUE DE FAIRE UNE RECHERCHE INTENSIVE POUR LA BONNE SÉLECTION DES ÉLÉMENTS .

2)LE MODE DE RÉALISATION PRÉFÉRÉ DE CETTE INVENTION SUPPOSE SEULEMENT UNE UTILISATION OPTIMALE AVEC BÉNÉFICE OPTIMALE EN UTILISANT UNE ÉNERGIE MOBILE .CETTE INVENTION PROPOSE D'UTILISER L'ÉNERGIE CONTENUE DANS UNE ÉTINCELLE HAUTE TENSION POUR ALIMENTER UNE CHARGE INDUCTIVE .CETTE CHARGE INDUCTIVE EST ALORS CAPABLE D'ETRE ENTRAIN DE CONVERTIR L'ÉNERGIE QUI FOURNIT DE L'ELECTRICITÉ UTILE EN SORTIE .

== Figure 29 ==
Diagramme de tube de conversion de Gray

== Figure 30 ==
Edwin Gray et son prototype de moteur #6

Içi nous avons une déclaration claire par Gray que la tube "conversion élément switching tube (CEST)" est la source de la sortie utile. Le CEST est donc utilisé pour la diffusion et la réception du phénomène électroradiant. Ayant établi ceci , il reste un certain nombre d'inconnues qui on besoin d'être explorées. Par exemple , nous ne savons pas du texte ou du dessin du brevet s'il existe un vide dans le tube ou de l'air ou autre gaz. un article dans le News Real révèle qu'il étudie les effets de la lumière du CEST pour apprendre. L'article indique aussi que Gray signalait la présence d'une lumière très forte à proximité de ma masse ou basse tension tel qu'il y avait quelque chose à faire avec "plus d'air". Donc il est possible que l'intérieur du tube ne soit pas du vide .Le composant #50 est malgré l’électricité froide produite présent pour la sécurité. Nous ne connaissons pas les dimensions du tube et de ses grilles de réception de charge. Ceci jusqu'à la prise de photographies par Tom Valentine . Beaucoup d'information apparaissent : le condensateur utilisé est 2 microFarad 4000VDC.

== Figure 31 ==
Edwin Gray et Fritz Lenz en 1973

== Figure 32 ==
Charge inductive de Gray

La charge inductive est un transformateur à air. Mais possiblement la meilleur façon de mettre ça en évidence est le brevet #685,956 de Tesla "Method Of utilizing Radiant Energy". La figure 33 montre l'ilustration qui nous interresse.Içi on voit la plaque exposée à de l'énergie radiante et se déchargeant vers la masse à travers le primaire du transformateur.

== Figure 33 ==
Tesla's Energy Radiant Method

On peut désormais théoriser le diagramme de Gray . La figure 34 est un diagramme que j'ai créé apellé "Schéma probable du Circuit de Gray".Le but est le même que pour le dessin de Gray , avec une batterie #40 , un multivibrateur #20 , un tranformateur élévateur #22 , un pont de diodes #24 , un condensateur #16 , un mécanisme de protection #42 ,#44, #46 ,Le composant emetteur-recepteur electroradiant #34 ,montrant l'éclateur #62 , la résistance #30 , et la grille à vide de la triode ,controleur temporisateur générant des trains d'impulsions tel que voulu avec des durée entre 10 et 50 microseconde.

Dans la section de sortie je montre les deux grilles du récepteur-émetteur électroRadiant #34 emboité l'un dans l'autre ils sont connectés au primaire du transformateur qui est connecté à la masse. Le secondaire de se transformateur à noyau à air est abaissé en tension.Cette section du circuit est également connecté à un autre transformateur abaisseur dont la sortie est redressé et connecté à un condensateur #38 qui chargera la batterie #18 par une tension plus élevée .

Le mécanisme de sécurité de surtention #42 est montré comme deux espace haute tension , un sur la première ligne utilisé pour la dissipation de la décharge électroRadiante qui retournerait dans le circuit de départ , et un pour se débarrasser de la surtension à la sortie du circuit .

Se référencent au tube à vide #28 , nous savons tout d'abord , selon Vassilatos , qu'afin de créer la forme de non entrechocage de l'électricité (no-shocking form of electricity), Tesla disait la durée de l'étincelle doit être limité pour quelque chose de moins de 100 microseconde. Nous savons aussi du Dr Chalfin's statuant dans l'article le News Real , que Gray à utilisé de l'énergie pour rien qu'une fraction de milliseconde . Le temps d'impulsion que j'ai suggéré au alentour de 10 à 50 microseconde représente donc 1 et 5 % d'une milliseconde.Aussi , le tube à vide #28 agit comme une super véloce-diode pour prévenir tout courant d'inversion .Comme écrit avant , le condensateur #16 se décharge à travers le récepteur-émetteur électroRadiant retournant au positif de la batterie. Normallement si un condensateur est déchargé , la haute tension positive serait déchargé retournant vers le négatif .Cependant il est dit que Gray déchargeait ses condensateurs en effectuant un retour du courant vers le positif de la batterie. Tesla a montré clairement que cela n'était pas nécessaire pour créer le phénomène électroradiant . Mais Gray a senti que s'était important. L'idée içi est clairement relié au fait de diviser le positif .Clairement ça n'a pas de lien par rapport à la recharge de la batterie #40. La tension qui chute dans l'éclateur réduit le niveau d'énergie à presque zéro.Donc ça ne peut pas être le mécanisme qui recharge la batterie. Aussi Gray disait qu'il utilisait l'énergie dans sa forme positive. Certainement , la grille du tube électroRadiant devait être irradiée par des charges électrostatic positive.Quand ces impulsions étaient déchargées à la masse , il utilisait seulement la partie positive de l'électricité.Donc ce que dit Gray à maintenant du sens .La photographie révèle de façon évidente que Gray utilisait pour ses tubes de conversions du cuivre pour la grille. Comme déjà dit ,l'effet électroRadiant créait une réponse électronique dans certains métaux .Gray devait savoir qu'il pouvait créer une charge électronique sur sa grille de réception si le phénomène électroRadiant y apparaissait. Dans les invention radiante de Tesla ,celui-ci a apprit a ne pas utiliser de cuivre pour éviter les contaminations électroniques que cela créait . Mais dans l'invention c'était nécessaire.Plus l'effet électroRadiant interagit avec le cuivre plus tôt il  retournera vers une forme d'éléctricité qui actuellement charge une batterie.

== Figure 34 ==
Exemple probable de schéma du circuit de Gray.


Pour résumer , le circuit à électricité froide de Gray fonctionne ainsi :
1)Il utilise une batterie.
2)Il élève la tension de 1) à 3000 VDC chargeant un très large condensateur.
3)Il décharge ensuite clui-ci dans un éclateur relié à un tube à vide ,tel que la durée d'impulsion par ce tube triode soit moins de 50 microseconde .
4)Ces brèves impulsions circulent à travers le tube de conversion créant une succession de champs radiant et électrostatique de tension distribué spacialement collécté par la grille de réception de charge.Aussitôt que le phénomène électroradiant cesse cette grille chargée se décharge à travers le primaire de la charge inductive en direction de la masse.Le système de récupération à la sortie est inductivement couplé à cette décharge primaire avec une tension abaissée pour allumer ampoule et autres systèmes aussi bien qu'un autre transformateur abasseur pour recharger la batterie secondaire.Par commutation régulière des batterie , Gray pouvait garder le système indéfiniment en marche .

A ce niveau , il y a seulement une erreur à signaler .Dans le texte du brevé Gray propose une théorie concernant la provenance de l'excès d'énergie.Ca serait en corrélation avec la tension de l'anode basse tension qui se mélange avec la tension de l'anode haute tension dans l'espace de l'éclateur. Grazy statue : "Parce que la durée de l'étincelle est vraiment brève ,tension et intensité peuvent être élevées de façon synchrone (puissance élevé).Ceci est clairement faux. J'ai testé de multiple variante à mon actif.Gray a choisit d'écrire cela parcequ'il ne comprenait pas ce qu'il fesait ou pour que le brevet soit mieux accepté.Je pense personnellement que Gray savait exactement comment créer l'effet mais ne savait pas l'expliquer.

Dans la déclaration Gray dit avoir utilisé 1 pourcent d'énergie et que le reste est retourné à la source . Actuellement toute l'énergie dans la section primaire du circuit est perdu. Le condensateur #16 se décharge dans l'éclateur oû 99 pourcent du potentiel de l'énergie du travail est perdu dans la chute de tension. Donc 100 pourcent de l'energie est perdu en terme de travail ordinaire dans la conversion.Ceci me faisant penser autrement. Ca produit une série de décharge unidirectionnel qui amènne à des effet electroRadiant qui sont déchargé à travers la vrai sortie pour fournir du vrai travail. Ce travail à la sortie 100 fois supérieur à l'énergie perdu .

== Figure 35 ==
sans charge
== Figure 36 ==
avec charge lumineuse

La figure 35 montre une image classique de l'enigmatique machine TESTATIKA conçu par Paul Baumann à la communauté Methernitha à Linden en Suisse .Mr Baumann explique comment il a conçu l'appareil en étudiant la lumière .Il avait une machine Wimshurst comme souc=rce de haute tension electrostatique qui charge deux condensateurs , la haute tension de ces condensateurs est relié sur le dessus de la large boite à l'intérieur de la quelle le mécanisme est méconnu .Un éclateur est présent à l'avant de cette invention .Beaucoup de spéculation autour de cette boite , mais je pense que le système est guerre différent de celui de Gray.Il est intéressant de voir que monsieur Baumann a placé deux boites de chaque coté de l'éclateur. Nous nous laissons imaginer que l'une contient un tube à conversion oû la charge est projeté et l'autre oû la charge est soustraite de la grille .

Compréhension du tube de conversion de Gray , CEST.



Le mécanisme de l'étincelle électrique.
par: Loeb B Leonard, professeur de physique, Université de Californie à Berkeley, et John Meek Ingénieur de recherche; Editeur: Université de Stanford, en Californie, Stanford University Press, 1941.

Commentaire Préface
De: Gary Magratten
Pour: Sterling D. Allan
envoyé le : vendredi, 04 Juin, 2004 18:30
Sujet : Mécanisme de l'étincelle électrique,Mark McKay et Pupoff.

Chers Sterling, ci-joint le résumé de "Le mécanisme de l'étincelle électrique" par Loeb et Meek. Les travaux de Loeb et Meek disent en substance que, dans un éclateur exposé à l' air libre consistant en une simple cathode et anode, il y a un gain énorme en cours en raison de I' avalanche.
Les travaux de Loeb et Meek est significatif pour deux raisons:

1) Lors de l'ionisation des molécules d'air en ions positifs et ions négatifs, ( électrons libres ) un quanta de REM (radiation EM) est nécessaire pour libérer chaque électron. Lorsque les électrons libres sont absorbés par la haute tension de l'anode les électrons libres bondissent à nouveau, et donnent un quanta de rayonnement électromagnétique. En raison de l'énorme augmentation des électrons libres développés dans l'avalanche le montant d'EMR dégagé par la haute tension d'anode est de l'ordre de cent à mille fois plus. Ainsi, se manifeste l'effet Radiant.

2) Dans les deux circuits le courant de l'avalanche est recyclé à la batterie primaire et secondaire. S'il vous plaît regardez le circuit et faites-vous une idée. . . Ainsi , un approvisionnement de courant sans fin. Loeb et Meek étaient des professeurs de physique à Berkeley et leur travail est bien établi par de nombreux tests. Mark [Mckay] et moi avons fait des recherches sur le circuit de Gray dont nous (en particulier lui) avons recensé les composants. C'était une année avant d'avoir lu le livre rare par Loeb et Meek qui explique que les composants ont été en train d'exploser.I1 y avait un gain en courant de 500% à l'air libre, étincelle pai haute tension dans l'éclateur. L'utilisation d'acier pour la haute tension de l'anode est également critique pour un grand effet Radiant. Je pense ce qui me regarde que les propriétés magnétiques en .jeu de l'acier a un rôle important dans la libération de cette énergie. Continuez votre bon travail! Gary Magratten

"Le mécanisme de l'étincelle électrique"
par Loeb et Meek
Résumé
La génération d'énergie électrique par avalanche HT

Dédicacé à:
Professor J. S. Townsend
Whose pioneer research and theory laid the whole foundation
for die study of the mechanism of the electrical spark discharge.
Préface.

Bien que l'étincelle électrique a été connu de l'humanité dans ses diverses manifestations depuis des temps immémoriaux,son mécanisme a été jusqu'à présent mal compris. La première clarification des mécanismes a eu lieu grâce à J.S. Townsend à la suite des résultats de ses recherches dans le début du XXe siècle. Sur la base de sa théorie de l'ionisation par collision des électrons et des ions positifs , les mécanismes actifs fondamentaux et en particulier les coefficients nécessaires à leur application ont été mis à disposition. En 1936, l'auteur a été contraint de décrire le mécanisme de la décharge d'étincelles en termes d ' une modification, mais nettement insatisfaisante de la théorie Townsend. En 1935, à la découverte de la photo-ionisation de l'air par une décharge corona indiquait une solution presque complète . Une meilleur explication est apparu à la découverte de banderoles à l'endroit positif en 1936. L'analyse quantitative de l'auto-propagation banderoles positive dans tous les phénomènes de claquage est devenue évidente à la suite des données relatives aux avalanches d'électrons. En conséquence, un mécanisme qualitatif d'étincelles par la propagation de banderoles de l'anode à la cathode fonctionnent au moyen de photo-ionisation dans le gaz a été créé.

Critères de Thownsend de l'étincelle.

Il ne sera plus nécessaire ici d'utiliser la fameuse équation de Townsend pour le courant [i] dans un éclateur entre électrodes en fonction du courant photoélectrique [io] de la cathode, la longueur de l'intervalle [x] et le coefficients [a] et [B]. Pour cela, le lecteur peut aller à n'importe quel texte standard.

(A-B)x
i=io(A-B)e
- - - - - - - - -
(a-B)x
a-Be

Dans cette équation, le premier coefficient de Townsend [a] représente le nombre d'électrons créés dans le gaz par un électron initial en avance de 1 cm le long de l'axe du champ de la cathode. Le second coefficient de Townsend [B] dans la théorie originale de Townsend a été le nombre d'électrons créés par un seul ion positif dans son avance de 1 cm le long du champ de l'anode. La quantité [a] a été largement étudié dans différents gaz. Il varie avec le rapport du champ de force à la pression, X / p, où [X] est en volts par centimètre et [p] est exprimé en millimètres de mercure Hg.
note: la raison qui nous anime est de déterminer l'augmentation réelle en courant fourni par l'éclateur, et donc être capable de concevoir le circuit pour éviter de détruire les composants semi-conducteurs. Il fournit également un son et a déjà prouvé la théorie scientifique de travailler à partir de ça nous donnant une bonne base et la confiance nécessaire pour poursuivre les travaux de conception technique. La quantité [B] a été évalués, mais de façon assez imprécise, à partir des variations de [i] avec [x] à diverses valeurs plus élevées de X / p, par de nombreux observations dans différents gaz. Il a déjà été également démontré qu'il existe de nombreuses autres mécanismes autres que l'impact avec des ions positifs qui peuvent libérer des électrons secondaires nécessaires dans la décharge.

Il y a eu une tendance à abandonner le mécanisme de ionisations par impact d'ions positifs dans le gaz. La découverte de l'ionisation photo-électrique mesurable dans le gaz a permis d'expliquer un tel cas. La façon exacte dont une photo-ionisation dans le gaz pourrait fonctionner à cause d'une étincelle, n'était pas clair jusqu'à ce qu'au développement sur la théorie actuelle de banderoles. Deux de ces équations sont donnés ci-dessous, avec l' équation originale de Townsend pour la comparaison.

1) équation originale de Townsend.
(A-B)x - (A-B)x
i=io (A-B)e - a-Be

2)Première équation.
ax
i=io e

3) Deuxième équation.
ax
i=io e
(a-U)x
a- nQg [e -1]

L'équation 2 sert pour la libération des électrons secondaires à la cathode par un bombardement d'ions positifs. L'équation [y] est la chance qu'un ions positifs libérera un électron de l'impact sur la cathode. L'équation 3 est l'équation pour la libération des électrons par action photoélectrique à la cathode;. [Q] est le nombre de photons créés par centimètre de chemin d'avance d'un électron initial depuis la cathode. [g] est un facteur géométrique de 0.5. qui dépend de la fraction de photons arrivant sur la cathode. [n] est la fraction des photons atteignant la cathode qui sont parvenus à la libération à partir de la cathode afin qu'ils ne diffusent pas en retour. [u] est le coefficient d'absorption des photons dans le gaz.


Théorie de banderoles de l'anode dans l'air - Champ de charges dû à une avalanche.

Supposons un éclateur de 1 cm de longueur. Supposons que dans l'air à pression atmosphérique le potentiel à travers les plaques est 31.600 volts, qui est le potentiel de claquage classiquement observé [Vs]. Ensuite calculons ce qui se passe dans le champ d'un de ces électrons. Il commence à travers l'éclateur, à acquérir rapidement une moyenne d'énergie aléatoire E = 1/2mC2 = 3,6 électron-volts et une vitesse de dérive [v] dans la direction du champ d'environ 1,5 à 2 fois 10(7) centimètres par seconde. Comme il se déplace il créé de nouveaux électrons à une vitesse de [a] par centimètres dans la direction du champ de sorte que, dans une distance [x] lui et ses électrons créés se chiffre à e(ax) électrons,formant ce qu'on appelle une avalanche d'électrons. Par conséquent, e(ax) ions positifs ont été laissés derrière par le groupe d'électrons, pratiquement où ils ont été formés dans les 10(-7) secondes d'avance pour les électrons dans la distance x=ci à travers les plaques .Tout comme l'avance de l'avalanche d'électrons, sa pointe se propage latéralement par les mouvements aléatoire des électrons. A partir de ces données, il est possible de calculer la densité de charge d'espace positive-ion laissé derrière à tout point de [x]. La valeur de [a] en vertu de ces conditions est d'environ 17,donc e(aq)=e(17). La première paire d'ions est créé à 0,0407cm de la cathode. A 0,5 cm de la cathode, il ya 4914 ions, à 0,75 cm il ya 3,66 fois 10(5) ions, et au sein de 0,0407 cm de l'anode il y a 1,2 fois 10(7) ions. La plupart des électrons seront attirés vers l'anode, sauf pour quelques-uns qui sont liés par les ions positifs, faisant une sorte de plasma conductible de décharge dans l'avalanche. Une telle répartition des ions ne fait pas un filament conducteur de charges à travers l'éclateur, et donc en soi une avalanche qui avait traversé ne constitue pas une rupture de l'éclateur. Ainsi, il faut chercher plus loin que le mécanisme de l'étincelle .Si Loeb et Meek sont correctes, alors si nous supposons un éclateur de 3 mm et une tension de 5.000 volts il y a environ 2.000 électrons créés par avalanche pour chaque électron sortant de la cathode Loeb et Meek disent que la plupart de ces «électrons libres» sont absorbés par l'anode.[Ce serait certainement l'explication de pourquoi les composants semi-conducteurs ne peuvent pas gérer le gain en courant.]
NOTE: Loeb et Meek font peu référence aux ampérage initial. Il y a seulement deux valeurs rapportées 10(-5) et 10(-12) ampères. En conclusion: les étincelles et les arcs sont deux bêtes différentes. Mes premières recherches sur l'intensité nécessaire pour former un arc ne s'applique pas aux étincelles et au processus d'avalanche où ce mécanisme a un gain énorme possible.


Ionisation photoélectrique dans le gaz, comme un mécanisme secondaire.

Accompagnant l'ionisation cumulative qu'il a été produit par des électrons de quatre à dix fois comme beaucoup d'atomes et de molécules excités . Certains sont excités à une énergie supérieur au potentiel d'ionisation de certains atomes et molécules présentes, soit par l'excitation d'une coque intérieure, par ionisation et excitation, ou dans un mélange de gaz comme l'air par l'excitation de molécules de plus grand potentiel d'ionisation, par exemple, N2. Ces atomes ou molécules excités émettent des radiations de longueur d'onde très courte de environs 10(-8) seconde. Ce rayonnement ultraviolet court est fortement absorbé dans le gaz et conduit à l'ionisation du gaz. En fait, tout le gaz et la cathode ainsi sont soumis à une pluie de photons de toutes les énergies venant de la région d'ionisation dense avec la vitesse de la lumière. Ainsi, presque instantanément dans tout l'éclateur et à partir de la cathode de nouveaux photo-électrons sont libérés, qui presque tout de suite commence à ioniser cumulativement.


Le mécanisme de formation de banderoles positive.

Les photo-électrons créés à des endroits dans le gaz et à la cathode à n'importe quelle grande distance radiale à partir de l'axe d'avalanche ne font que créer d'autres avalanches.Ceux dans le gaz seront courte et ceux qui viennent de la région de la cathode seront longue et tel que celle de l'avalanche initiale. Étant plus petit et. dans tous les cas, plus tard dans la création que l'avalanche parent, ces avalanches seront d'aucun intérêt dans la rupture. Toutefois, ces photo-électrons créé près du canal de la charge d'espace des ions positifs, et surtout près de l'anode, sera renforcée dans un domaine qui exerce une action directive les attirant sur eux-même. Si le champ de charge d'espace [Xl] est de l'ordre de grandeur du champ imposées [X], cette action sera très efficace. En outre, les valeurs de [a] seront beaucoup améliorée. Les électrons de l'ionisation intense cumulative de ces avalanches de photo-électrons dans les champs combinés [X] et [X1] qui sont attirés dans la charge d'espace positive les alimentant, sont en train de se fabriquer un plasma de conduction qui commence à l'anode. Les champs supplémentaires seront les plus efficaces le long de [X] et ainsi sera l'ionisation. Les ions positifs laissés derrière les électrons étendrons par conséquent la charge d'espace vers le cathode. Ces électrons créer aussi des photons qui produisent des électrons pour continuer ce processus. De cette façon la charge d'espace positive se développe vers la cathode à l'anode comme une banderole de charge d'espace positive s' auto-propageant . Comme la banderole avance vers la cathode cela produit une région filamenteux de charge d'espace intense de distorsion le long d'une ligne parallèle au champ. La banderole conductrice d'un plasma se compose d'électrons et d'ions s'étendant à l'anode permettant ainsi un gradient très raide à la fin de la pointe de la banderoles sur la cathode . Comme ça avance vers la cathode, les avalanches de photo-électron produites par le rayonnement à la cathode,en particulier à l'intersection de l'axe de la banderole étendu vers la cathode, commence à produire une intense ionisation près de la cathode. Une fois les ions positifs créés il peut y avoir augmentation de l'émission secondaire. Ainsi, comme la banderole de la charge d'espace se rapproche de la cathode, une tache cathodique se forme qui peut devenir une source de lumière visible. Lorsque la banderole atteint la cathode il y a un filament conducteur reliant l'espace entre les deux éclateurs de l'électrode. Comme la pointe atteint la cathode les hauts champs produisent une ruée d'électrons vers la fin de la banderoles. Ceci si elle est suivie par un courant d'électrons, donne une vague à fort potentiel qui passe le canal pré-ionisés vers l'anode, en multipliant les électrons présents par un facteur important. Le canal est ainsi rendu très conducteur. Si le métal peut émettre une offre abondante d'électrons à cause de la formation d'une tache cathodique efficace, le courant d'électrons continue de maintenir le canal de sa haute conductivité et de plus en plus en elle. Ce courant, à moins d'être limitée par la résistance externe, se développera alors en un arc. Ceci est, cependant, l'augmentation intense de l'ionisation par le potentiel d'ondes qui donne au canal cette haute conduction caractérisant l'étincelle.

POURSUITE DES RECHERCHES DE
GRAY
Les Dr. Paulo et Alexandra Correa ont inventé le Tube à plasma et le PAGD (Pulsed Abnormal Glow Discharge)




Autour de 1995, les Dr. Paulo et Alexandra Correa, couple de chercheurs, ont officiellement annoncé qu’ils avaient réussi à générer un surplus d’énergie à partir d’un courant électrique dans un plasma.


Avec cette technologie, on fait travailler le tube à plasma dans sa région de résistance négative. Pour utiliser cette caractéristique, on construit un tube dans lequel on crée un vide d’air très poussé, soit moins de 1 mm de mercure de pression. Puis on applique une tension électrique continue entre les cathodes et les anodes, suffisamment pour provoquer une luminescence autour de ces électrodes, mais pas assez pour provoquer un arc électrique.


Pour rappel le tube de conversion de Gray fonctionnait par une astuce surunitaire en ionisant l'air du tube à l'aide d'un courant continu impulsif ,dans lequel les électrons étaient récupérés par la grille .Les ions du gaz (air ou ozone ionisé . . .) "produits gratuitement " étaient biens ions et n'on électrons ,en effet le tube de Gray se référait au domaine des plasmas et de ce tube se dégageait une lumière par la quelle E. V. Gray faisait ses réglages.
Croquis de John Bedini du tube de conversion de Gray :

Circuit de Edwin gray , liens et téléchargements utiles

Sites sur l' Énergie libre ou énergie de l'ether :

Un bref aperçu
1) http://www.lumieresurlaplanete.org/page13fr.html
 
Le secret final de l'énergie libre , travaux de Tom Bearden  //pdf
2)a. Traduction document 1/3 de Tom Bearden
   b. Traduction document 2/3 de Tom Bearden
   c. Traduction document 3/3 de Tom Bearden
// documents originaux sont les suivants : http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%209%20Feb%201993/indexold.html (document 1) ==
http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%20of%2015%20Feb%201994/index.html (document 2) ==
http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%2013%20May%201994/index.html (document 3)).

TESLA NIKOLA
3) Electricité froide et énergie radiante - travaux de TESLA
4) Analyse des schémas de brevet de TESLA sur l'énergie radiante

 //pdf == Un des nombreux livres en français de Jeanne Manning sur l'énergie libre (journaliste dans la recherche de connaissances sur l'énergie libre )
5) Jeane Manning -- Énergie libre et technologies

== La matière est faite d'ondes - Gabriel Lafrenière - Livre élecronique de 32 chapitres (un peu de théorie) ==
6)http://www.glafreniere.com/matiere.htm

== TOUT sur les machines à Energie Libre - GRAY Edwin G. Vincent ==
7)http://www.zen-blogs.com/fr/energies_libre.php?Page=20

== Exemple d'invention avec COP>1 : L'ENERGIZER de John Bedini ==
8)http://tesla3.com/free_websites/zpe_bedini_energizer.html

== Excellent site sur l'antigravitation avec descriptions illustrées des inventions ==
9) http://antigravite.e-monsite.com/

Informations sur le circuit de Edwin Gray

Je ne crois pas moi aussi que Gray disait la vérité concernant ses inventions. Particulièrement en ce qui concerne ses prototypes de moteur car mes différentes expériences m'on montrées comment ce comportait l'énergie radiante. Son comportement est celui que Tesla a décrit tel un gaz ou un fluide. On peut voir sur une video d'internet :
que le courant Radiant emprunte ,dans le circuit , la plus courte distance spatiale vers la masse ou son signe opposé , il préfère également traversés une résistance de quelques ohms dans un espacement d'air de 2 à 3 mm inter-electrode plutôt que de parcourir la baguette en Aluminium de bonne épaisseur et d'une longueur d'1 mètre et d'une résistance bout à bout proche de 0 ohms. Donc Gray ne disait pas la vérité lorsqu'il parlait d'inducteur bobinés pour ses moteurs.En effet l'électricité radiante aurait parcouru seulement la surface de la bobine avec un parcours électrique de moindre distance d'une broche à l'autre de la bobine. Ici je ne vois que le moteur homopolaire qui pourrait tenter l'approche . De plus il est évident que le phénomène electroRadiant se manifeste hors des limite du CSET. Donc dans la conception actuel du circuit avec des câblage aussi long il doit y avoir beaucoup de perte. . .
Une vidéo d’internet du même abonné en fait également état :

VOIR TOUTES MES VIDÉOS


                                                                                                  Stoya .